Nous vivons avec le covid-19 depuis des mois et il est logique que cela soit pris au sérieux étant donné la forte contagiosité avec éventuellement une mortalité plus élevée.
En raison de la nouvelle aggravation de l’épidémie en Belgique et des nouvelles décisions du Conseil National de Sécurité qui en découlent, décisions qui nous ont été communiquées ce lundi 27 juillet 2020, nous sommes obligés d’adapter les conditions dans lesquelles nous pouvons accueillir les familles au Crématorium de Court-Saint-Etienne.
Conformément à la décision du gouvernement fédéral dans le cadre de la gestion de la crise sanitaire, nous sommes contraints de suspendre notre activité « cérémonie » dès ce mercredi 18 mars à 12 heures (dernière cérémonie à 11 :30).
Il est décidé depuis ce matin dans l’ensemble des crématoriums de nous conformer aux prescriptions de nos collègues français en prenant des mesures plus strictes, à savoir :
Depuis quelques années, toute personne peut, de son vivant, informer par écrit l’officier de l’état civil de sa commune de ses dernières volontés en matière d’obsèques. Comment s’y prendre et de quoi s’agit-il ?
Différents cas de figure sont possibles. Si la personne qui souhaite utiliser le véhicule est le conjoint survivant, cohabitant légal ou un des enfants et pour autant que la plaque soit au format européen (1-xxx-xxx) elle peut être conservée et vous pouvez demander le transfert à votre nom auprès de la DIV.
La BAEC (Banque des actes d’état civil) est entrée en fonction le 1er avril 2019.
Concrètement, il s’agit d’une base de données
centrale des actes d’état civil dans laquelle sont intégrés tous les
registres état civil communaux et des postes consulaires belges.
Les actes d’état civil ne sont plus établis, signés et conservés que de manière électronique.
A côté de la déclaration de succession, il incombe aux héritiers ou au conjoint survivant de rentrer une déclaration à l’impôt des personnes physiques concernant le défunt. Cela concerne l’année du décès et la suivante. Cette année, pour les revenus de l’année 2018, le délai est au 28 juin pour le dépôt au format papier et au 11 juillet pour les utilisateurs de tax -on- web. Une précision s’impose : dans certains cas vous pouvez dépasser ces délais, puisque vous avez jusqu’à 5 mois après le décès pour le faire.
Au décès, vous n’êtes pas sans savoir que l’ensemble des avoirs du défunt et de son conjoint sont bloqués. Pour ce dernier, c’est souvent problématique car la vie continue et les dépenses du quotidien aussi. Il est donc urgent d’entreprendre les démarches afin de débloquer les comptes.
Croque-mort : un
métier méconnu, souvent caricaturé. Pourtant, les personnes qui le pratiquent
doivent faire preuve de beaucoup d’humanité à un moment aussi crucial et
difficile de notre existence que constitue la mort d’un proche. Cédric Moens,
Directeur des pompes funèbres Devroye à Wavre, nous livre les ficelles de son
activité pas comme les autres.
« Je désire apprendre la thanatopraxie depuis que j’ai 16 ans », lance Audrey, une chef de chantier de 28 ans qui suit une formation de thanatopraxie en deux années, via le centre IFAPME de Mons. Cette filière suscite de plus en plus de vocations depuis quelques années. Thanatopraxie : le mot laisse perplexe et résonne de manière bien mystérieuse pour la plupart d’entre nous. Et pourtant, cette discipline nous concerne tous. Son objectif ? Effacer les altérations morphologiques liées à la mort. Elle vise ainsi à retarder la décomposition post mortem et à conserver temporairement le corps d’un défunt dans de meilleures conditions d’hygiène, en attendant son inhumation.
Des playmates au physique exquis et au décolleté plongeant ont porté son cercueil jusqu’à son emplacement dans le cimetière où il a été inhumé, un portique détecteur de métaux placé devant sa tombe et sous lequel il fallait passer avant de pouvoir boire une coupe de champagne en sa mémoire, le tout ponctué par une série de pétards qui ont explosé.
Pris dans la tristesse qu’engendre inévitablement la disparition d’un proche, il est souvent difficile de conserver les idées claires et d’entamer de manière efficace toutes les démarches administratives inhérentes au décès. Et ne pas les réaliser, dans un délai relativement bref, engendrera inéluctablement des conséquences pour le moins préjudiciables.
Qui devez-vous prévenir en tout premier lieu lorsque vous constaté la disparition d’un proche ? La structure qui se situe en première ligne et à qui vous devez signaler la disparition de votre proche, c’est la police locale. C’est elle qui, ensuite, informera à son tour la « Cellule personnes disparues » au niveau de la police judiciaire.
Au-delà de la tristesse que provoque la perte d’un être cher, il y a les différentes démarches inhérentes à l’organisation des obsèques et les frais que ces dernières engendrent, entre le coût lié à l’achat du cercueil, la pierre tombale, l’incinération, voire la réception d’après funérailles.
Une étude récente menée auprès de 1.000 Belges révèle que près de 60% des Belges désirent mourir chez eux contre 7% qui préfèrent pousser leur dernier soupir en milieu hospitalier. Mais force est de constater que la réalité est éloignée de ces statistiques étant donné que le Belge décède plus fréquemment à l’hôpital.
Face à l’augmentation du coût de la vie, force est de constater que mourir coûte cher de nos jours. Face aux difficultés des ménages à faire face aux funérailles d’un proche, fin 2013 la fédération des pompes funèbres a lancé une assurance obsèques en Belgique.
Selon une étude menée par une compagnie d’assurance néerlandaise, 36% des Belges ne désirent pas qu’un, voire plusieurs proches issus de leur famille soient présents à leurs funérailles. C’est ce que révèle l’étude d’Hooghenraed, ladite compagnie d’assurance néerlandaise.
Lorsque le bio pointe le bout du nez dans le marché des morts, c’est le business modèle des entreprises classiques qui s’en retrouve bousculé. Sans compter les économies que ce modèle vert engendre. La mort écologique et low-cost s’est d’ailleurs déjà matérialisée en France avec le « cimetière naturel » de Souché, concrétisé par la ville de Niort (Deux-Sèvres).
Avec l’arrivée prochaine de la Toussaint, croyants et non-croyants vont affluer vers les cimetières afin de déposer le traditionnel bouquet de chrysanthème. Mais honorer la mémoire de ses défunts proches, c’est aussi penser à l’entretien de leur sépulture. Voici comment entretenir leur tombe, que ce soit à l’occasion de la Toussaint ou tout au long de l’année.
Lors d’un décès, certaines formalités obligatoires du vivant du défunt courent toujours et doivent être exécutées par les héritiers, les légataires ou encore les donataires. Surtout lorsque c’est à l’État qu’il faut rendre des comptes. C’est précisément le cas avec la déclaration d’impôts. Lorsqu’un proche décède, il incombe aux héritiers, aux légataires universels, à savoir la personne qui bénéficie d’un leg via un testament, aux donataires, c’est-à-dire une personne ou une institution qui reçoit un héritage, de déclarer les revenus de la personne défunte.
Sa vente est encore interdite en Région wallonne, mais ça ne l’empêche pas d’avoir le vent en poupe. Qui ça ? Le cercueil en carton. Enfin, en carton, pas tout à fait, si on tient à l’esprit le terme générique que l’on assimile habituellement au carton destiné à l’alimentation. À vrai dire, comme aiment le rappeler les « puristes », il ne s’agirait pas de carton à proprement parler.
Lorsqu’une personne de nationalité belge décède à l’étranger, il convient d’avertir l’ambassade ou le consulat belge sur place ainsi que les autorités locales, qui dresseront l’acte de décès. Toutefois, si les autorités locales ne sont pas en mesure de rédiger l’acte de décès, l’ambassade ou le consulat belge pourra s’en charger.
En Belgique, les citoyens indigents ne sont pas seuls face à la mort, lorsqu’il s’agit d’inhumation. C’est écrit noir sur blanc dans le Code wallon de la Démocratie locale et de la Décentralisation : « La mise en bière et le transport du corps de l’indigent se font gratuitement et de manière décente ». Précisons que cette disposition comprend également l’incinération ou l’inhumation.
A l’heure où un nombre croissant de Belges se font incinérer, nous vous présentons ici le cadre légal et les formalités inhérentes à l’incinération en Belgique. Vous pouvez orchestrer vous-même l’organisation de l’incinération de votre proche, sans toutefois perdre de vue que les pompes funèbres peuvent parfaitement prendre en main toute l’organisation de l’incinération, et ce compris les démarches administratives sous-jacentes.
A l’heure où les compagnies de taxi livrent une guerre sans merci à Uber, où les comparateurs de prix en ligne pullulent et où les médias sociaux constituent des plateformes incontournables en termes de visibilité et de notoriété pour les entreprises : En France, des starts-up ont mis les pieds dans le plat du marché funéraire. Et elles sont en train de donner un sacré coup de lifting au secteur.
Le terme « enterrement » ou « inhumation » désigne l’acte qui consiste à enterrer la dépouille du défunt au cimetière. Cet enterrement, vous pouvez l’organiser et le prendre en charge seul. Ou alors, le confier à une entreprise de pompes funèbres qui assumera l’entière organisation des funérailles, ainsi que toutes les démarches administratives inhérentes à l’enterrement.
En règle générale, le décès d’une personne plonge les proches de ce dernier dans une profonde tristesse. Bousculé par cet événement, on n’a pas toujours en tête les démarches obligatoires à exécuter dans le cadre de la mort d’un proche : du constat de décès à l’acte de décès, sans oublier les différentes démarches administratives, certaines choses peuvent vous échapper. Nous faisons le point avec vous.